Anti douleur
La sophrologie, l’hypnose, l’énergétique ne soignent pas, elles remettent la douleur à sa juste place
La douleur se ressent dans le corps et se vit avec l’esprit
Elle fait souffrir le corps, mais la plupart du temps, elle raconte l’histoire de la personne qui souffre et lui parle de sa vie, de ses pensées et de ses secrets.
Qu’est-ce que la douleur ?
Le dictionnaire la définit comme « une impression anormale et pénible reçue par une partie vivante et perçue par le cerveau ».
L’Association Internationale pour l’Etude de la Douleur (IASP) la définit comme « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, en rapport avec une lésion tissulaire réelle ou potentielle ».
Par son aspect sensoriel, l’IASP entend que la douleur est reçue par les sens, qui alertent le cerveau.
Par son aspect émotionnel, l’IASP entend que le contexte émotionnel de la personne en souffrance module la douleur en faisant varier son intensité et parfois son emplacement.
La douleur alerte sur un dysfonctionnement du corps. Elle est indispensable et permet de protéger l’organisme.
C’est son premier rôle : avertir.
Quoiqu’il en soit, quand la douleur persiste, qu’elle soit aigüe et /ou devienne chronique, c’est le corps qui parle et il faut l’entendre.
Cela veut dire qu’il va d’abord falloir explorer le corps, comprendre ce qui s’y passe, trouver une cause à cette souffrance, à « cette lésion tissulaire réelle ou potentielle ».
Consultez d’abord votre médecin pour qu’il explore les possibles causes de cette douleur. Une fois la cause de la douleur déterminée par le corps médical, un traitement pourra être mis en place.
Il arrive également que les médecins corrèlent la douleur à un état émotionnel sensible et dirigent leurs patients vers un sophrologue, un praticien en hypnose ou un énergéticien.
La douleur n’est pas imaginaire, elle est réelle et c’est ainsi qu’il convient de la prendre en compte. Il existe des douleurs qui ne trouvent pas de causes nécessitant un traitement médical, mais qui sont bien présentes et font souffrir, parfois de façon chronique, agissant alors sur le sommeil, l’attention et même sur l’humeur de la personne atteinte.
Lorsque la douleur perdure, elle entraîne invariablement des spasmes et ou des tensions musculaires qui ont souvent pour résultat de l’intensifier dans la zone concernée, voire même dans les zones alentours.
Il s’agira alors de définir si la douleur est une douleur dite « fantôme », c’est-à-dire une douleur restée chronique après que des traitements médicaux en aient guéri l’origine, ou s’il s’agit d’une douleur « émotionnelle », c’est-à-dire une douleur rattachée à l’expression corporelle des émotions (mal de vivre, déprime, etc.).
Sans être capable de remplacer un avis, un geste ou un acte médical, mon accompagnement multi-pratiques soutient l’ensemble des efforts que vous faites vers votre mieux-être.
La douleur est généralement subie passivement : Ressentir pleinement les parties du corps qui sont moins (ou pas) douloureuses est une démarche active et positive.
La sophrologie en réponse à la douleur
Avec ses outils autonomisants, la sophrologie est utile à la douleur parce qu’elle vous permet de prendre en main sa gestion notamment dans les moments de douleur intense. Il n’est pas seulement question de détourner l’attention de sa douleur, mais de mettre l’accent sur le reste du corps qui, lui, n’est pas en souffrance.
L’hypnose et l’autohypnose en réponse à la douleur
C’est le moyen d’agir à la source, dans la sphère inconsciente où est née la difficulté, là où quelque chose dissone : en effet, si ce « quelque chose » (une valeur, une croyance, une habitude…) n’est pas exprimé ou ne peut pas l’être, le corps va prendre le relai et exprimer ce qui n’est pas dit.
L’énergétique en réponse à la douleur
Logiquement, les effets de la douleur sont hyper-sensibles, dans le sens positif du terme, au travail énergétique. Là où il y a douleur, il y a « nœud » énergétique, « embouteillage ». L’EFT (Emotional Freedom Techniques) le reiki et le magnétisme viennent nettoyer toutes les routes où sillonnent l’énergie de votre corps. Parfois, les résultats sont surprenants et votre travail consiste alors à accueillir ces belles surprises.
Mélanger les approches pour dissoudre la douleur ?
Bien entendu, je ne peux rien promettre ni garantir, toutefois, je m’engage à vous offrir le meilleur cheminement pour que vous ne laissiez plus votre douleur toute seule dans votre corps, votre mental, vos émotions et votre coeur.
S’accompagner de différentes façons offre naturellement plusieurs « portes d’entrées » au soulagement.
Amplifier les démarches positives sert à isoler les démarches négatives, liées à la douleur elle-même.
Les résultats obtenus seront fonction de l’ampleur de la douleur (chronicité, intensité, etc.) et de l’implication de chacun à prendre en main et à agir sur sa souffrance.